Verte

Publié le par Laetitia


Deux images, ou plutôt devrai-je dire deux premières de couvertures différentes pour un même livre ! Comme quoi, il y a toujours du changement, car la première de couverture permet une approche différente de l’histoire. Regardez par vous-même : que vous inspire la première image par rapport à la seconde ? Pourtant, il s’agit bel et bien du même livre !

 

Je suis en train d’étudier ce livre avec ma classe... on n’en est qu’au début. Mais bien sûr, avant de le donner aux élèves, je l’ai lu afin de connaître l’histoire ; cette dernière est racontée par différents personnages, donc différents point de vue (dans le même style, moi je connaissais « une histoire à quatre voix » et « l’enfant océan »).

Voici de quoi parle ce livre : « A onze ans, la petite Verte ne montre toujours aucun talent pour la sorcellerie. Pire que cela, elle dit qu'elle veut être quelqu'un de normal et se marier. Elle semble aussi s'intéresser aux garçons de sa classe et ne cache pas son dégoût lorsqu'elle voit mijoter un brouet destiné à empoisonner le chien des voisins. Sa mère, Ursule, est consternée. C'est si important pour une sorcière de transmettre le métier à sa fille. En dernier ressort, elle décide de confier Verte une journée par semaine à sa grand-mère, Anastabotte. Puisqu'elles ont l'air de si bien s'entendre. Dès la première séance, les résultats sont excellents. On peut même dire qu'ils dépassent les espérances d'Ursule. Un peu trop, peut-être. »

Ce livre se lit facilement, il est très plaisant et j’ai appris des choses !!! Par exemple : seules les femmes sont des sorcières (les hommes n’ont pas ce privilège), c’est un pouvoir qui se transmet de mère en fille (seulement sur la fille aînée). Bon, le livre n’est pas axé que sur cela, il y a tout de même une histoire ! J’ai passé un bon moment en le lisant, y’a des choses sympa à lire dans la littérature de jeunesse !

Publié dans Lecture

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C
C'est pas possible, il faut tout expliquer... le pouvoir pour les sorcières ne se transmet que de mère en fille. C'est un fait qui se retourve dans beaucoup de contes. C'est aussi le cas pour les filles aînées. Mais comme beaucoup de contes, il y a beaucoup de variantes, c'est pourquoi on retrouve des lignées de sorcières (cf les soeurs halliwell même si c'est pas une superbe référence). Ensuite, il y a aussi la confusion entre les sorcières, les fées et les magiciennes que l'Eglise a mis sur le devant de la scène pour contre-carrer le contre pouvoir du rebouteux ou du "sorcier" du village. Et c'est normal que les hommes ne soient pas des sorcières puisque ce sont des sorciers ou des enchanteurs ou des magiciens ou des magiciens d'un quelconque côté du destin.
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L
<br /> <br /> Merci pour toutes ces précitions... tu es vraiment calé !<br /> <br /> Pour la deuxième partie de ta réponse, mon livre dessus est assez explicite : "... rencontrer quelques vieux magiciens foireux, reconvertis dans la prestidigitation. Mais de véritables sorciers,<br /> non. Je ne crois pas que les hommes aient beaucoup à voir dans la sorcellerie." Désolée, si cette réponse te déçoit ! ;-)<br /> <br /> <br /> <br />
C
Ah bon ? Je suis l'aînée et je n'ai aucun don particulier ! En tout cas en sorcellerie ! Peut être est-ce dû au fait que Maman ne m'a rien transmis ?<br /> Et puis si seule la fille aînée possède les dons, qu'en est-il des soeurs Halliwell et du "Pouvoir des 3" ? !!!
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L
<br /> Que de questions !<br /> Pour te répondre : tu n'as aucun don en sorcellerie tout simplement parce que notre famille n'est pas une famille de sorcières ! Ca se serait dis moi !<br /> Et puis pour les soeurs Halliwell, c'est peut-être juste l'exception qui confirme la règle !<br /> <br /> <br />